Bienvenue
sur notre site

Bienvenue

Un cadre de vie
agréable

Un cadre de vie

Tourné
vers la nature

Tourné

Une ville
dynamique

Une ville

chapelle des neiges

La Chapelle Notre-Dame des Neiges

La chapelle Notre-Dame du Hameau des Neiges mérite une attention particulière. Les neuvaines y attirent toujours la ferveur de la paroisse et des environs.

La tradition veut qu’un lointain  août, une statue de la vierge ait été trouvée sur un « mont de neige » dans le hameau. Le prêtre  aurait recueilli l’objet pour le porter en grande cérémonie à l’église de la ville mais la statue serait réapparue au même endroit. Y voyant l’expression de la volonté divine, les paroissiens édifièrent la chapelle au lieu des apparitions.

Dès 1940,  La seconde guerre mondiale fit du Hameau le théâtre de combats terribles. La chapelle que l’on connait aujourd’hui fut reconstruite en 1947 et agrandie en 1988.

 

le geant charles le garde champetre

Le géant Charles le garde champêtre

Créé par Alain Vroylandt, Charles a vu le jour entre les mains de l’association « Charles le géant et ses galopins » et de nombreux bénévoles qui ont contribué à sa réalisation, de la construction jusqu’à l’habillement.

Ce géant redonne vie à Charles Weisbecker, employé municipal, doyen des gardes champêtres de France.

Charles mesure 3m62 et pèse 20 kg. Elégant dans sa tenue de garde champêtre, il porte casquette, jupe et redingote mais reste toujours fidèle à son bâton noueux et à la sacoche qui abrite les plis officiels.

Il fait ses premiers pas le 2 juillet 2000 entouré de son géant parrain Henri le douanier de Godewaersvelde et de sa marraine Arthurine de Bourbourg.

 

le geant theodoric

Le géant Théodoric

En 1997, l’association les Amis de Théodoric a vu le jour afin de porter haut la tradition des Géants avec le projet de créer un Géant : Théodoric, œuvre d’Albert Uytenhove.

Théodoric mesure 5m20 et pèse 140 kg. Il  représente un cavalier-archer du XVIIème siècle vêtu d’un pourpoint bleu à parements d’or et d’argent, d’une veste sans manches à mêmes ornements, jaboté sur la chemise au poignet de dentelle complété par une jupe rouge, coiffé d’un chapeau rouge à plume blanche complété d’un armement composé d’une épée au côté gauche et un arc en bandoulière. Son chapeau rouge symbolise par ailleurs un tournoi qui se déroula lors de la visite de Marie de Bourgogne sur le territoire de Téteghem

Archer et chef de guerre du XVIIème siècle, Théodoric avait pour devoir de défendre la ville de Téteghem.

Le géant, créé en l'honneur de ce guerrier, fut baptisé le 14 septembre 1997 en présence de son parrain Jean le Bûcheron et de sa marraine Arthurine de Bourbourg.

 

eglise st pierre

Eglise Saint-Pierre

Emblème de la renaissance de l’ancienne commune de Téteghem détruite au XXème siècle, Saint-Pierre est en effet ce que l’on appelle avec un peu de confusion « une église de la reconstruction ».

C’est après la tragédie de mai-juin 1940 que l’église fut détruite.

En janvier 1955, le conseil municipal désigna Paul et Jean Gélis, architectes parisiens, pour concevoir une nouvelle église programmée par économie sur le site originel, pour l’asseoir sur les fondations antérieures. Le projet définitif de reconstruction de l’église Saint-Pierre obtint l’approbation préfectorale fin 1959. Monseigneur Dupont en bénit la première pierre le 9 octobre 1960.

Sa reconstruction offre l’une des plus élégantes églises reconstruites du territoire : sa belle élévation compose une très harmonieuse nef dans laquelle l’assemblée est disposée en un unique espace cernant l’autel surélevé.

Les vitraux élancés et les baies de façades y orientent le visiteur vers le chœur dans une atmosphère propice au recueillement.

Les architectes ont en outre joué sur l’idée de renaissance en reprenant le principe du baptistère de Florence, emblème de la Renaissance.

C’est bien sûr le sanctuaire d’un temps nouveau mais l’édifice affirme son ancrage dans la tradition : sa couverture audacieuse présente, outre un haut cloche, sa toiture pentue de tuiles à tous les horizons.

L’église Saint-Pierre fut inaugurée le 1er juillet 1962 en présence de l’évêque de Lille.

 

eglise st michel

Eglise Saint-Michel

Dès 1067, la commune déléguée de Coudekerque-Village avait déjà une église. La petite communauté était alors installée dans une zone marécageuse avec sa première église entourée de marais et fouettée par tous les vents. La Paroisse s’appellera Coudekerque « Eglise froide ».

 Durant des décennies plusieurs églises ont été successivement construites. En 1658, l’église et le presbytère sont en ruine, les anglais ont volé les cloches lors du dernier siège de Dunkerque, les Français ont pris les ornements sacrés. C’est donc  probablement aux alentours de 1727 soit 79 ans après sa destruction que l’église est reconstruite.

En février 1893, lors d’un conseil municipal, le maire expose l’urgence de la construction d’une église qui est devenu indispensable. L’architecte désigné par cette construction constate que le sol était « vibrant, très mouvant ». Malgré les précautions prises lors des travaux, des fissures importantes se produisirent et il fallut consolider le bâtiment.

En 1896 la cloche est installée dans le nouveau clocher suivie de l’ouverture officielle au public.

En juin 1940, lors de l’opération des troupes anglaises, l’église Saint-Michel a été relativement épargnée mais la situation est inversée lors de la poche de Dunkerque (1944-1945). En mai 1945, à la libération, les habitants constatent les dégâts, l’église est en ruine comme en 1658. Un baraquement servant de chapelle sera installé.

A la fin des années 1950, l’édifice religieux va être reconstruit. En 1960,  l’église Saint-Michel sera inaugurée par le Cardinal Liénart et ouverte au culte.  Le 22 mai 1961, les cloches sont installées.

Mais en 1992, le Maire  est de nouveau confronté au même problème que ses prédécesseurs ;  l’église Saint-Michel présente d’importantes  fissures au niveau des cloches avec danger pour le public. Le sous-préfet demande alors sa fermeture.

Une association de financement avec demande de fonds de dotation pour la réhabilitation de l’église s’est créée.

En 2016, la municipalité a entrepris des travaux d’entretien jugés prioritaires afin d’éviter une dégradation supplémentaire. Une nouvelle étude, en concertation avec le Conseil Départemental du Nord, sera lancée afin de solutionner de problème des fondations.

{Play}